MON 1er BOOK REVIEW, en français:

Les 9 vies d’une petite robe noire.

Résumé

“Elles sont neuf. Neuf femmes qui ne se connaissent pas, mais dont la vie va pourtant être transformée par la même petite chose : une simple robe noire. Il y a Felicia qui aime un homme en secret depuis vingt ans et qui va enfin oser déclarer sa flamme. Natalie, elle, a le cœur brisé depuis que son petit ami est parti avec une autre femme. Quant à Sally, elle débarque de la campagne et caresse le rêve, a priori inaccessible, de devenir mannequin et de conquérir New York. Et il a aussi Andie, Sophie, Marylin… Les destins entremêlés de ces femmes sont sur le point de changer grâce à la même petite robe. Un bijou d’élégance qui redonne confiance, fait battre le cœur plus vite. Et qui, surtout, guérit les âmes blessées…”

Mes impressions et Commentaires:

Ceci ne se veut pas une critique littéraire mais bien mes commentaires, en toute humilité. J’ai ADORÉ ce livre!

Ce n’est pas un livre récent, sa sortie date de 2016, mais ce n’est que tout récemment que je l’ai vu en suggestions sur mon application GoodReads (une vraie mine d’or pour me faire dépenser ça loll). Je croyais ce serait une lecture d’été facile, léger…. Pas tant que ça, oui facile, ça se lit presqu’en une traite (ça dépend de combien d’heures vous disposez en avant de vous), mais pas si léger que ça.

J’ai adoré la façon avec laquelle Rosen (l’auteur)nous présente ces 9 femmes dont la vie va changer grâce à cette petite robe noire, LA robe noire, La robe de la saison que tout le monde s’arrache à New York, La robe Max Hammer (designer), vous savez là, la ptite robe noire qu’on pourchasse et qu’on veut toutes? Je ne sais pas pour vous, mais moi je suis constamment à la recherche de la petite robe noire parfaite pour toutes les occasions . On dirait que j’en ai jamais assez, chaque fois que j’en vois une j’me dis, ahhh c’est peut-être elle… C’est notre « Go to » comme on dit, notre passe-partout. Facebook n’a pas encore d’émoji pour la robe noire!

Bref, j’ai adoré la façon dont les histoires s’entremêlent. Chaque chapitre traite d’un personnage différent. Ces 9 femmes ont toutes leur histoire, leur vécu, qui les rend attachantes, et on veut toujours en savoir un peu plus sur elles. J’avais de la difficulté à mettre le livre de côté pour aller souper ou pour vaquer à mes autres occupations, un peu comme un « thriller » mais c’est pas un thriller. Évidemment on y rencontre quelques personnages qu’on aime détester et un peu de « good old-fashioned romance ».

Tout ça parce que Morris Siege, un grand patronniste de 90 ans à la veille de sa retraite, a eu la chance de fuir la Pologne pour l’Amérique avec un grand A (New York plus précisément) à l’âge de 13 ans, tout juste avant le 2e Guerre Mondiale. Dès le tout début de cette traversée en bateau, il fait la rencontre de Max Hammer qui avait de grands rêves, et depuis ce jour, ils sont devenus inséparables. Avant sa retraite, il lui reste encore 1 robe à créer, et elle devient rapidement LA sensation, on La suit des passerelles de mode au département des dames chez Bloomingdales et ensuite « in and out » de la vie de ces 9 femmes très différentes l’une de l’autre.

J’ai aimé retrouver l’ambiance des « runways », ressentir l’atmosphère des magasins grandes surfaces à New York, du Bloomingdales où je suis allée à l’âge de 18 ans pour la 1ère fois, avec des yeux pétillants, y’a fallu que j’achète quelque chose juste pour dire que j’avais acheté de quoi, un pyjama Calvin Klein (j’ai même demandé à la caissière de garder les supports écrits Bloomingdales dessus ahahahah!) Misèreeee. J’ai aimé y retrouver les endroits populaires et emblématiques de New York que j’adore ( ben oui j’suis quétaine de même et je m’assume), comme Central Park, le Grand Central Station, le Brooklyn Bridge, L’Hôtel Plaza (où le personnage de Big dans Sex in the City demeure). Awww New York! Que je t’aime. Ça m’a permis de voyager un peu, le temps d’un livre.

Je suis une fille qui est très visuelle alors je me laisse souvent influencer par la couverture d’un livre. Celle du livre en anglais m’a beaucoup interpelée.

Tout ce que je peux rajouter c’est que j’aimerais bien voir ce livre porté à l’écran. Cette couverture m’a fait penser à 2 autres livres que je possède et que j’ai lus il y a longtemps :

Je vous laisse avec un des derniers passages du livre que j’ai beaucoup aimé, le discours de Morris Siegel pendant la soirée donnée en son honneur à l’aube de sa retraite :

« For seventy-five years I have made ladies’ dresses. That means that for seventy-five years I have made women happy. For seventy-five years I have made mature women spin around in front of the mirror like young girls. For seventy-five years I have made young girls look in the mirror and for the first time see a woman staring back at them. I have made young men’s eyes pop out. I have made old men’s eyes pop out. Because the right dress does that. It makes an ordinary woman feel extraordinary. It’s just not often that they get to wrap themselves up in a bow and show the world.

On the occasions that they do, the dress is everything. No one receives an invitation to dinner or a wedding or a ball and says, ‘Oh, I need to buy a new hat’. They say, ‘I need to buy a new dress’. No one spends weeks searching for the perfect sweater or blouse, but the search for the perfect dress can lead a woman to visit every store in the city. It’s the dress that needs the right bag, the right shoes, and the right shade of lipstick, never vice versa. The dress a girl wears to a prom, on her first trip down the aisle, even on her second, is probably the biggest decision of the night. In fact a bride may spend more time contemplating the dress than the actual proposal. I can promise you it wasn’t those ill-fitting glass slippers that gave Cinderella the confidence to crash that ball. It was the dress—the dress made her do it.”

Dites m’en des nouvelles si vous le lisez!

P.S.: Vos commentaires sont grandement appréciés!

Vous pouvez vous procurer votre copie en cliquant ICI.